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lundi 17 mars 2014

Comme un vent de panique...

Vous connaissez la nouvelle ?

Il s'en est passé des choses depuis le lancement de notre petit programme "électoral" en janvier dernier !

Il faut dire que nous avons pris soin d'en informer l'ensemble des grandes formations politiques de ce pays.

Seulement voilà : la politique, c'est un métier, et la totalité d'entre nous en possédons déjà un. Il se trouve simplement que personne parmi nous n'envisage de devenir politicien(ne) professionnel(le). Alors, du coup, il risque de se faire que nous n'ayons que peu de listes à présenter aux prochaines municipales et européennes. Mais ce ne sera que partie remise : le vrai travail est un travail de fond destiné à changer les choses à la racine.

Et pour les changer à la racine, nous avons décidé de faire vaciller la nébuleuse UMPS et ses satellites (Mélenchon, Modem UDI, NPA...).

Il faut croire que d'aucuns nous ont pris au sérieux, puisqu'on n'entend plus beaucoup notre fringuant ministre de l'Intérieur, vous savez ?, celui qui envoie des huissiers relever les déclarations faites en scène par un saltimbanque, comme au bon vieux temps de la Police des Spectacles dénoncée en son temps par Voltaire !

La règle est simple : si, à Evry ou ailleurs, nous parvenons à mobiliser l'essentiel des abstentionnistes habituels, la clique de Valls peut être battue. Et nous pouvons le faire partout ailleurs : Bordeaux, Nantes, Hénin Beaumont, Nice, Biarritz, etc.

Pourquoi le Front National ?

L'ennemi de mon ennemi peut devenir un ami de circonstance. On n'est pas obligé de partager toutes ses options. Pour nous, ce ne sera qu'une question de calcul et d'audace, comme au poker !

Imaginez la déflagration qui se produirait dans le Landerneau politico-médiatique si jamais le Front National accédait à des mairies d'arrondissement à Paris, Marseille, Lyon, voire s'emparait d'Hénin-Beaumont et de quelques autres localités, comme Evry, par exemple !

Si chacun d'entre nous parvient à convaincre dix personnes par jour à rejoindre notre action, alors il risque fort d'y avoir une déflagration dans le Landerneau...

Est-ce la peur de ce cataclysme qui explique l'arrivée impromptue, dans le paysage politique marseillais, de l'ami Pape Diouf ? 

On parie que Diouf n'est qu'un poisson pilote du Parti Socialiste ? Est-ce pour corriger l'impression désastreuse dégagée par la non sélection de Samia Ghalli ?

Trop arabe pour être maire de Marseille. Ça vous étonne ? Et noir alors ?

Pour notre part, nous entendons faire en sorte d'avoir plus de visages basanés et d'yeux bridés dans le paysage politique français, à commencer par des maires asiatiques à Paris 13ème ou à Alfortville, des maires originaires d'Afrique ou des Dom-Toms dans le tiers des arrondissements parisiens, etc.